Le changement, c’est pour quand ?
Même après cette longue – très longue – séquence électorale, il ne s’agit pas d’une question adressée aux politiques. Mais d’une interrogation destinée à nous-mêmes. Du moins si, comme
une grande majorité d’entre nous, nous ne sommes pas satisfaites de notre vie actuelle. Bien sûr, nous ne sommes pas malheureuses, mais sommes-nous parfaitement heureuses ? Probablement pas. Alors, qu’est-ce qui nous retient ?
Le magazine de psychologie qui nous ressemble
« Carpe Diem ». Tout le monde connaît cette locution latine, plus souvent grâce au Cercle des poètes disparus (génial Robin Williams) qu’au texte d’Horace d’où elle est tirée.
Cueillir le jour présent, une bien belle règle de vie. Plus facile à dire qu’à mettre en pratique. Entre le boulot, les enfants, la famille, les amis… on a toujours l’impression qu’on ne maîtrise plus rien. Pour reprendre la main, une seule solution : lever le pied et décider ce qui important et ce qui ne l’est pas, en suivant notamment l’excellent conseil de Cindy Ghys : arrêter d’être parfaite, ou plutôt, arrêter de chercher à l’être toujours plus. Puisque parfaite, nous le sommes déjà, naturellement !
Avec notre cher et tendre, même chose. Notre histoire n’est peut-être pas de celle qu’on cite en exemple, mais c’est notre histoire. Il ne tient qu’à nous de la vivre de la manière la plus épanouie possible. Il su t de décider d’aimer notre couple, pas uniquement l’autre et l’image qu’il nous renvoie, mais ce que nous sommes à deux, et ce que nous avons décidé de construire, sans passer sur ses – nombreux – défauts, ni sur les nôtres, beaucoup moins nombreux, mais en gardant une vision positive de ce qui nous arrive.
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