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LE TOUR DE LA QUESTION

Les 8 préceptes pour un enfant bien élevé

Être parents est loin d’être une tâche facile ! On doit leur apprendre les règles de la politesse, leur inculquer les bases d’une bonne conduite et le respect des autres. Pas toujours facile d’y arriver ! Voici donc les préceptes de base.

 

1. NE PAS CÉDER AUX CAPRICES !
Pour un parent, il est plus facile de céder aux caprices de son enfant et de lui acheter le dernier jeu à la mode, par crainte de le voir piquer une colère. Pourtant, si l’on cède une fois, il recommencera ! Alors mieux vaut tenir bon. Comment ? En lui expliquant pourquoi il n’a pas besoin de ce jouet, en lui demandant d’attendre Noël ou son anniversaire. En effet, la colère chez l’enfant est une émotion saine que l’on laisse s’exprimer.

2. DIFFÉRENCIER BESOINS ET DÉSIRS
L’enfant a tendance à ne pas faire la différence entre ses besoins réels et ses désirs. Il faut donc lui donner des exemples pour lui expliquer ce dont il a besoin ou pas. Cela passe par définir clairement les termes :
– les besoins vitaux : les repas, la maison, les fournitures pour aller à l’école, les vêtements… ;
– les désirs : les choses dont il peut parfaitement se passer.

3. L’ARGENT, ÇA SE MÉRITE !
L’argent de poche ne se distribue pas à tort et à travers. Pour apprendre la valeur de l’argent à son enfant, on doit instaurer quelques règles qui l’aideront à gérer son budget. Les règles à suivre ?
– seulement quelques euros, il n’a guère besoin de plus ;
– donner de l’argent dans un but précis ;
– verser cet argent de manière régulière, par exemple, chaque dimanche soir ;
– lui apprendre à gérer cet argent et à en connaître l’importance ;
– instaurer une cagnotte pour chaque

corvée effectuée : mettre la table, sortir les poubelles ou encore tondre la pelouse.
Surtout, on évite les récompenses, notamment en cas de bonnes notes à l’école, ce qui reviendrait à lui faire croire qu’il travaille uniquement pour obtenir une console de jeux.

4. SAVOIR DIRE NON
Un enfant teste régulièrement ses parents. Alors même s’il entre dans une colère noire, on dit non et on se fait respecter. Ce n’est pas parce qu’on lui di «non» que notre enfant nous aimera moins ! D’autant que, pour l’enfant, accepter le «non» est important à sa construction. Sinon, plus tard, il fera face à des désillusions. Dire non c’est poser des limites, au sein desquelles l’enfant se sent en sûreté, lui apprendre à nous respecter et à respecter les autres, lui inculquer la patience, lui donner une image de référence d’un adulte fort à laquelle il voudra s’identifier.

 

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